June syndrome

28 juin 2012

Je crois que je suis atteinte, comme de nombreuses femmes (marrant tiens, pas l'air de toucher beaucoup le masculin cette histoire là) du syndrome du mois de juin où l'on ne touche pas terre, autrement appelé June syndrome. A croire qu'une faille spatio-temporelle se cache dans ce mois-là...

Donc voilà, un billet pour rien, juste pour dire qu'entre le spectacle de cirque de l'école, le gala de danse, l'apéritif des parents, le pique-nique de fin d'année, le goûter d'adieu, le spectacle de la garderie et je ne sais plus trop quoi... (ici je pense fort aux parents ayant non seulement un loup et une belette mais plein d'autres petits animaux... car oui, le June syndrome s'aggrave en fonction du nombre d'enfants possédés). Ajoutez à cela les quelques jours d'école buissonnière, une chouette visite grand-parentale, une participation à un vide-grenier, une chaleur très estivale et les baignades quasi quotidiennes (et là je me fais détester de toute la blogosphère qui n'a pas la chance d'habiter en bord de mer), vous obtenez... et bien rien justement ! Ou tout, à vous de voir.

En tout cas pas de couture, peu de lecture et pour l'ordi on n'en parle pas ! Par contre des rencontres, du soleil , de l’excitation et de la joie enfantine, de la fatigue à s'endormir à l'arrière des voitures, le goût du sel, pas mal de transpiration et de gâteaux (oui, faire des gâteaux pour les divers événements mentionnés ci-dessus semble indissociable du June syndrome, et quand il fait 35° dans la cuisine, allumer son four relève de l'exploit !), des dîners dehors qui s'éternisent, des envies de siestes qui parfois se concrétisent, et surtout un avant-gout des vacances qui arrivent.

Et comme pour nous les vacances seront cette année longues et baladeuses, vous n'allez pas avoir grand chose à vous mettre sous l’œil en lisant ce blog !

Pour finir un aperçu de la belette en pleine crise de June syndrome.

June syndrome